Alice Mouton
Communication et marketingNi université, ni école de commerce pur jus, l’ISIT représentait un parfait compromis pour Alice Mouton à la fin de sa 1ère année de Prépa. De nombreux stages en Allemagne et en France, une expérience de développement commercial au sein de la Junior entreprise et un an d’apprentissage dans un grand groupe après, la voilà « product marketing manager » pour une start up.
Avant l’ISIT ?
J’ai passé un bac ES spécialisation anglais. Si j’ai toujours aimé les langues, je ne savais pas vers quel métier me destiner et j’ai donc commencé mes études supérieures par une 1ère année de classe prépa littéraire. Celle-ci m’a permis de m’intéresser à la traduction. Des enseignants m’ont parlé de l’ISIT, que j’ai intégré en 1ère année car je souhaitais renforcer encore mon niveau en allemand.
Pourquoi l’ISIT ?
L’ISIT n’est ni trop littéraire comme l’université, ni une école de commerce classique, mais une Grande École qui permet d’appliquer à des métiers un solide bagage linguistique et culturel.
Ce qui m’a plu ?
- Les promotions à taille humaine, avec des enseignants à l’écoute et un suivi individualisé, ce qui permet de progresser rapidement et de prendre confiance en soi.
- La multiplication des expériences, en particulier à l’international.
- La professionnalisation tout au long du parcours. J’ai effectué de nombreux stages très différents les uns des autres : en Allemagne, de la rédaction dans un petit journal et un peu de communication à l’Institut français ; en France, de la gestion de projets et de la traduction dans deux agences de traduction et à la Croix Rouge française.
- Après une année de césure, j’ai rejoint le groupe Aviva comme apprentie en Master 2. Mes missions consistaient notamment à décliner la stratégie interne de communication du siège social situé en Grande-Bretagne, avec beaucoup de gestion de projets communication, de la traduction et de la conduite du changement. Outre la découverte de domaines professionnels différents et du mode de fonctionnement d’un grand groupe, j’ai beaucoup aimé les relations avec les autres métiers de l’entreprise.
- En Master 1, j’ai également intégré Junior ISIT, la Junior entreprise de l’ISIT, comme membre actif du pôle Développement Commercial.
Après l’ISIT ?
Un mois après l’obtention de mon diplôme, une amie de promotion m’a parlé d’un poste de rédactrice de contenus web dans la start up qu’elle avait intégrée plusieurs mois auparavant. J’ai eu envie de postuler, avec en tête mon expérience d’alternance. L’environnement start up m’a attiré car, à la différence d’un grand groupe comme Aviva, il permettait de voir grandir l’entreprise en même temps que soi.
Pourquoi les profils Isitistes sont-ils particulièrement bien adaptés à l’environnement start up ?
- L’ISIT forme ses étudiants à savoir s’adapter, via les stages, les contacts avec les nombreux étudiants internationaux et un corps enseignant très varié. Cet environnement est typiquement celui d’une start up, où chacun est amené à explorer des domaines inconnus et à acquérir des compétences sur le terrain.
- Etre traducteur, c’est être curieux par nature. C’est posséder des réflexes interculturels parfaitement adaptés à une start up internationale comme Mobility Work. C’est savoir identifier ses cibles et s’y adapter.
Des conseils pour les étudiants ?
- Savoir se faire confiance.
- Ne pas se mettre de contraintes. Beaucoup d’étudiants ont en tête un parcours tout tracé en arrivant à l’ISIT, alors que celui-ci permet d’explorer beaucoup de voies.